Il faut d’urgence définir une politique d’immigration et de naturalisation conforme à l’intérêt national !

Le gouvernement dirigé par Manuel Valls fait exactement le contraire, d’une part en multipliant les facilités d’obtention des diverses cartes de séjour (notamment par la création d’une carte de séjour qui sera valable entre deux et quatre ans - 2,5 millions d’étrangers extracommunautaires concernés) et, d’autre part, en  compliquant le retour des clandestins vers leurs pays d’origine, en empêchant le placement et le maintien dans les centres de rétention administrative qui permettent l’éloignement effectif des étrangers en situation illégale. 
La vérité, c’est que la France a le droit de choisir qui elle souhaite accueillir sur son territoire et de définir une politique d’immigration conforme à l’intérêt national.
Comment ?
1.     En définissant chaque année, du nombre d’étrangers admis à immigrer en France. 
2.     En mesurant la capacité du candidat à l’immigration à intégrer la société française par une connaissance suffisante de la langue française, une adhésion aux valeurs essentielles de la société française et à sa capacité à exercer une activité professionnelle, ou, s’il n’envisage pas de travailler en France, de son autonomie financière. 
3.     En restreignant l’accès aux allocations familiales et au logement social, en le conditionnant à au moins cinq années de résidence légale en France.
4.     En facilitant le retour des clandestins dans leurs pays d’origine, en faisant passer la durée maximale de rétention administrative de 45 à 180 jours (elle est illimitée au Royaume-Uni ou aux  Pays-Bas, et de 18 mois en Allemagne). 
Dans le même temps il convient de revoir les conditions d’accès à la nationalité française, pour renforcer la cohésion de notre communauté nationale, en donnant toute sa force au principe d’assimilation qui a été inscrit dans le code civil lors de la refondation de la République, en 1945.
Comment ?
1.     En abrogeant la circulaire de Manuel Valls qui a donné instruction à l’administration d’augmenter le nombre des naturalisations. La naturalisation doit être le résultat de l’assimilation et non une condition à l’intégration.
2.     En faisant évoluer le « droit du sol ». L’étranger né en France ne deviendra Français, à 18 ans, qu’en affirmant clairement sa volonté d’être Français. 

https://pourunenouvellerepubliquefrancaise.blogspot.com/https://grandeschroniquesdefrance.blogspot.com/https://parolesdevangiles.blogspot.com/https://raymondaronaujourdhui.blogspot.com/

#JeSoutiensNosForcesDeLOrdre par le Collectif Les Citoyens Avec La Police