« Montre-nous l’ennemi ! »

Ce cri aurait pu être lancé à la foule par un général sur le forum de la Rome antique. Et le peuple de désigner du doigt la direction à suivre : vers le sud pour Carthage lors des guerres puniques, vers l’Egypte pendant la guerre civile entre César et Pompée, vers le nord pour désigner les germains au IIIème siècle.

A ce cri, l’ambassadeur russe à Paris, Alexandre Orlov, a répondu ce matin en désignant DAESH !* Dans un français excellent et ne pratiquant pas la langue de bois, le représentant du président Poutine a fait plusieurs déclarations :

1.       "Nous devons tout faire pour que Damas ne tombe pas"

2.       "Aucune guerre ne se gagne dans les airs, nous devons aider ceux qui combattent au sol"

3.       "Il faut évidemment faire entrer Bachar el-Assad dans la coalition contre Daesh"

4.       "Je n'ai aucun problème à voir des avions russes et US voler ensemble contre Daesh"

5.       "Nous allons essayer de faire en sorte que l'Arabie-saoudite sunnite et l'Iran chiite s'allient contre Daesh"

L’ennemi est clairement identifié : DAESH. Une coalition internationale doit réunir les européens, les américains, les russes, les états arabes et la Syrie de Bachar el-Assad. Le danger est une extension territoriale de « l’état islamique ». Le sort du président syrien ne pourra être envisagé qu’à l’issue de la défaite totale de cette bande de voyous sanguinaires, qui n’a rien à voir avec la religion musulmane.

L’Europe, et particulièrement la France, doit renouer des relations saines avec la Russie. Rien ne se fera sans eux.


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