Air Cocaïne - Justice - Sarkozy : trop c'est trop !

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Dans une interview donnée au journal Le Parisien / Aujourd'hui en France, Nicolas Sarkozy revient sur l'affaire Air Cocaïne:
 
"Qu'imagine-t-on ? Que j'étais à Punta Cana sur 700 kilos de cocaïne ?"
 
"Je veux savoir si un autre client de la compagnie aérienne a été géolocalisé et écouté : y en a-t-il d'autres ou est-ce un traitement qui m'a été réservé ? C'est impossible de prendre de telles mesures sans demander l'autorisation du bâtonnier, car je suis avocat : l'ont-ils demandée ?"
 
"Croyez-vous qu'on géolocalise le chef de l'opposition, qu'on écoute ses conversations au téléphone, tout son entourage, sans que la garde des Sceaux en soit informée ? Je pose la question. Et si la garde des Sceaux en est informée, elle ne parle pas avec le président de la République ? Je n'ai pas plus de droits que les autres, mais je n'en ai pas moins non plus."
 
Toute une procédure, dont la légalité est à discuter, parce que Nicolas Sarkozy a eu recours à la société  qui a affrété le jet connu aujourd'hui sous le nom d'Air cocaïne ! Mais alors, une telle procédure a-t-elle été appliquée à tous les clients de cette compagnie ou seulement à Nicolas Sarkozy ? Si Nicolas Sarkozy est un jour monté dans une Volkswagen, doit-il être mis en examen dans l'affaire en cours ? L'acharnement est évident et la volonté de nuire (et de détruire) est flagrante.
 
Et encore Nicolas Sarkozy a les moyens de se défendre (et le psychique pour résister) ? Mais quand l'opprobre est jetée sur un quidam, à tord, qui vient racheter son honneur ? Henri Guaino avec une fougue conduite par la colère et la foi s'interrogeait en la semaine dernière sur la responsabilité des juges. Ses propos sur le juge Gentil lui ont valu une condamnation. Mais qui répare les heures de garde-à-vue et les jours de détentions provisoires d'une personne poursuivie à tord.
 
Notre ministre de la Justice serait bien avisée à mettre de l'ordre dans son ministère.
 
Il faut une grande réforme de la justice et cela passe par l'élection au suffrage universel indirect des juges (ce qui les rend indépendant du pouvoir exécutif et responsables devant le peuple, par la suppression de l'Ecole nationale de la magistrature, par l'interdiction du syndicalisme.
 
Aujourd'hui, cette éniéme affaire contre Nicolas Sarkosy, pourrait bien être l'affaire de trop d'un gouvernement en déroute.
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